Oui,ce fut une journée banale…..Mais agréable,il a fait beau temps=>je suis allé « faire un tour »….Cependant,j’ai encore été surpris par des absurdités,des contradictions du « système » social:
1)Comme ceux (celles) qui me connaissent le savent,je suis un traitement « à vie » pour soigner mon épilepsie…..Ce traitement comprend 4 médicaments……Comme c’est plus « pratique »,mon médecin traitant spécialiste ,lors des consultations,me fait une ordonnance renouvelable pour 6mois… Aujourd’hui, je suis allé à la pharmacie pour « renouveler » mes médicaments….
Et là:Surprise! Un des comprimés (je ne le cite pas) est maintenant « classé » différemment (je ne me souviens plus du terme exact…). Bref ,il ne peut être renouvelé ,doit être sur une ordonnance à part valable pour un seul mois! Ce qui signifie que je devrais dorénavant aller chez le médecin,voir le spécialiste tous les mois rien que pour ce comprimé!!
En notant que je dois prendre un taxi pour aller chez mon spécialiste,et que tout est pris en charge par la sécu,sachant aussi que je suis loin d’être le seul dans ce cas,je ne comprends pas cette contradiction :D’un côté on nous rebat les oreilles avec le déficit de la sécurité sociale et de l’autre,on nous oblige à plus demander en remboursement?????Ce qui ne fait qu’augmenter ce déficit!
2)Une autre imbécilité (moins grave): Déjà chez le buraliste,on lit sur les paquets de cigarettes que fumer amène des maladies mortelles (mais le tabac est en vente libre!)Aujourd’hui,je découvre que chez ce même buraliste qui vend des jeux de la française des jeux ,il y a maintenant des affiches disant que jouer est « dangereux » ,que ça risque de devenir « une mauvaise habitude » ,ressemblant à une drogue dont on ne se débarrasse que très difficilement…….
Les questions qui se posent alors sont:Quels sont les imbéciles qui « pondent » ces lois et qui en tire profit…
P.S:
La Française des Jeux est une entreprise publique française de 1976 détenue à 72 % par l’État français qui lui a confié le monopole des jeux de loterie et de paris sportifs sur tout son territoire, départements d’outre-mer inclus, ainsi que dans la collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon, la collectivité d’outre-mer de la Polynésie française et la principauté de Monaco.
La cigarette donne désormais le ton social. Du petit-bourgeois à la midinette, de l’étudiant à l’«apache» (le mauvais garçon), elle est sur toutes les bouches. Le Service d’exploitation industrielle des tabacs (Seit) est constitué en 1926. A la recherche de profits nouveaux pour un Etat en déficit budgétaire permanent, il décide d’accroître sensiblement son effort publicitaire. Il rencontre les faveurs d’un public étendu au sexe féminin, persuadé que la cigarette est l’instrument, ou du moins l’indice, de l’émancipation. De très nombreuses marques sont créées au cours de l’entre-deux-guerres: la Balto représente la caravelle apportant le tabac des Amériques; les Natacha et autres Anouchka conjuguent le charme slave et le plaisir de fumer; Week-End, contemporain du Front populaire, fait miroiter des lendemains qui chantent les congés.Gauloises et Gitanes reçoivent un nouvel habillage: le casque ailé pour les premières, l’éventail de l’Andalouse pour les secondes. Le cinéma, l’affiche, la presse diffusent ces images d’exotisme, de détente, dans une société où le travail dure, le temps presse et les relations sociales manquent de liant.
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