encore 4 jours…

Et ce blog stoppera , au fond ,c’est aussi bien comme çà : Plus le temps passe , moins ce que j’écris a d’intérêt . Il n’y a qu’à voir le nombre de commentaires pour en être convaincu . Je ne sais pas pourquoi , qu’elle est la raison de cette absence ,diminution de lecteur donc de com.

L’autre ? Je ne sais pas ce qu’il devient , si il est encore  » actif  » , je continuerais à y mettre des billets que pratiquement personne ne lira ….mais çà m’occupera ……

De toutes façons , j’ai bien d’autres problèmes plus importants que les blogs , des ennuis bien réels dans le domaine moral ,santé, pratique / financier etc….

Bref , ce déballage qui peut se résumé ( encore une fois ) à  » je continue ou j’arrête ?  »

Ce soir ,j’arrête lol

P.S : Aujourd’hui , çà faisait une semaine sans cigarette ! Tout le monde s’en moque , mais les  » accrocs  » au tabac comprendront comprendront ce que çà représente .

2) Quand on en arrive ( comme c’est mon cas ) , à ce que son fils vous file de l’argent de temps en temps sans qu’on le voit (il le pose ente les feuilles du livre qu’ on lit par exemple ) , on prend conscience que payer pour écrire sur un blog ,des billets sans intérêt , est absurde ……..Tout cela demande réflexion et……repos .

Soyez bien , vous qui par hasard passeriez . Et excusez moi vous qui êtes passés et à qui je n’ai pas répondu ( çà : Répondre , je le ferais )

ermiteathee.com expires in less than 7 days!

Et moi ,  » j’expire  » maintenant après une journée , soirée vide……Pourquoi j’écris çà ici ???? Je n’en sais rien , débilité certainement ……..

En fait , je sais : J’ai l’esprit plein de soucis /ennuis , de  » trucs  » stressants (toujours manquer d’argent. Manque qui oblige à ne pas fumer : Dur !) ,tristes ( le décès de maman )….Ce qui fait que le voudrais communiquer , partager mais……je ferais mieux de stopper ! ( ce blog s’arrête dans une semaine , ne sera pas renouvelé ) l’autre ? peut-être ferais je mieux de le stopper aussi ?

J’avais des idées de billets (même si pas géniaux ) , mais , aussi étrange que çà puisse paraitre , je les ai oubliés ! Sans parler des blogs amis que je m’étais promis de visiter et commenter …Bref : NUL .

Pffffffff déballage idiot , inutile !!

çà ira mieux demain ou un autre jour …….peut-être .

P.S : Comme ce déballage est idiot , n’a , en théorie , rien à faire sure un blog ( mais moi et la théorie, les règles ???? ) , je bloque les commentaires .

Soyez bien.

Pour l’instant…..

……S.MacQueen

Résultat d’images pour Steve McQueen

: La grande évasion ….

J’ai lu que :

( Copié /collé de ce que j’ai lu )

Le célèbre film de John Sturges La grande évasion , avec Steve McQueen, est inspiré d’une histoire vraie. Un fait d’armes incroyable réalisé par des hommes aux abois qui n’avaient plus rien à perdre…

S’inspirant d’un épisode réel de la Seconde Guerre mondiale, La Grande Evasion (sorti en 1963) est une superproduction hollywoodienne avec une brochette de stars. Une œuvre divertissante et spectaculaire devenue culte, dans laquelle Steve Mc Queen  crève l’écran. Si tout le monde se souvient de la séquence où il fuit les motards de la Gestapo sur sa Triumph, cette scène est de la pure fiction ! En effet, le réalisateur J. Sturges  a pris quelques libertés avec la réalité…

La véritable histoire : en 1943, plus de 10 000 officiers – principalement des aviateurs britanniques et américains, mais aussi des pilotes de toutes nationalités – sont détenus dans le camp le mieux gardé d’Allemagne : le Stalag Luft III, tenu par la Luftwaffe. Ce camp, situé près de la ville polonaise de Sagan, à 150 km au sud-est de Berlin, est entouré d’une immense forêt, et donc difficile d’accès. Il y avait deux haies de barbelés de trois mètres de haut. Des gardes dans les tours. Des patrouilles qui circulaient le long du périmètre. Mais malgré cette surveillance constante, un pilote de chasse, le Britannique Roger Bushell , va organiser une grande évasion collective en échafaudant un plan audacieux.

Logo de Télé Loisirs

De la réalité à la fiction

L’opération a consisté à creuser, pendant des mois, trois tunnels sous les baraquements, par lesquels 250 prisonniers pourraient s’échapper ! D’une profondeur de dix mètres, ces tunnels (surnommés Tom, Dick et Harry) étaient constitués de couloirs étroits dans une galerie souterraine. Et faisaient une centaine de mètres de longueur ! Avant de s’enfuir, une équipe de prisonniers s’est chargée de falsifier des laissez-passer, établir des faux papiers, trouver des vêtements civils, rassembler tout ce qui était nécessaire à la fuite… Mais, contrairement à ce que montre le film, aucun Américain ne s’est évadé : ils avaient tous été transférés dans un autre camp durant l’automne 1943 ! Et c’est dans la froide nuit du 24 au 25 mars 1944 que 76 soldats alliés réussissent à sortir du camp avant que l’alerte ne soit donnée ! Hélas, tous les fugitifs sont capturés en quelques jours. Et cinquante d’entre eux sont fusillés, au mépris de la Convention de Genève. Seuls trois hommes ont échappé aux nazis : un Néerlandais qui traversa l’Europe jusqu’en Espagne, avant de rallier l’Angleterre. Et deux Norvégiens, qui fuirent par bateau. Les autres rescapés vécurent en captivité jusqu’à la Libération, en 1945. La Grande Évasion a contribué à rendre hommage à l’ingéniosité et au courage de ces hommes, qui luttèrent pour la liberté.

Le plus vieux texte de loi encore ……

…..en vigueur en France remonte au XVIe siècle

J’ai lu que le plus vieux texte législatif encore en vigueur en France remonterait au XVIe siècle:

Deux articles jamais abrogés de l’ordonnance de Villers-Cotterêts, édictée par François Ier en 1539, sont toujours appliqués par la Cour de cassation et le Conseil d’état. Ces articles imposent le français comme langue officielle.

L’Ordonnance de Villers-Cotterêts est un texte législatif réformé signé par François Ier de France le 10 août 1539, dans la ville de Villers-Cotterêts ; c’est la plus ancienne législation française encore utilisée en partie par les tribunaux français.

En grande partie écrit, conçu par chancelier Guillaume Poyet, l’édit législatif contenait 192 articles et traitait d’un certain nombre de questions gouvernementales, judiciaires et ecclésiastiques.

Les articles 110 et 111, les plus célèbres et les plus anciens encore en usage dans la législation française, préconisent l’utilisation du français dans tous les actes juridiques, les contrats notariés et la législation officielle pour éviter toute confusion linguistique :

CX.( 110 ) Que les arrestz soient clers & entendibles. Et affin quil ny ait cause de douteur sur lintelligence desdictz arrestz. Nous voulons & ordonons quilz être faictz & escriptz si clairement quil ny ait jamais pu auoir aulcune ambiguite ou incertitude ne lieu a en demander interprétation.

Traduction en  » moderne  »

110 : . Que les décrets soient clairs et compréhensibles. Et pour qu’il n’y ait aucun doute sur la signification des dits décrets. Nous voulons et ordonnons qu’ils soient rédigés et rédigés de manière si claire qu’il n’y aura ni ne pourra y avoir d’ambiguïté ou d’incertitude, ni de motif pour en exiger l’interprétation.

CXI. De prononcer & expedier tous actes en langage francoys. Et pource que telles choses sont souuentesfoys aduenues sur lintelligence des motz latins contenuz esdictz arrestz. Nous voulons que doresenavant tous arrestz ensemble toutes autres procedeures soyent de noz cours souueraines ou autres subalternes et inferieures, soyent de registres, enquestes, contractz, commissions, sentences, testamens et autres quelzconques actes et exploictz de justice, ou qui en depend, soyent prononcez, enregistrez et déliez aux parties en langage maternel francoys et non autrement.

= en  » moderne :111. Sur la prononciation et la rédaction de tous les documents juridiques en français. Et parce que tant de choses dépendent souvent de la signification des mots latins contenus dans lesdits documents. Nous ferons en sorte que dorénavant tous les décrets ainsi que toutes les autres procédures, que ce soit de nos cours royales ou d’autres subordonnées ou inférieures, que ce soit les dossiers, les enquêtes, les contrats, les commissions, les sentences, les testaments, et tous les autres actes et actes de justice ou dépendants de ceux-ci soient prononcés , écrit et remis aux parties dans la langue maternelle française et non autrement.

François 1er ..

Il y a 660 ans !!!!!!

Finalement, notre époque n’a rien inventé du point de vue monnaie ( dévaluation, création de nouvelle  »pièce  » , monnaie, ) etc….Comme :

Le 5 décembre 1360, à Compiègne, le roi Jean II crée une nouvelle monnaie, le  » franc  », de même valeur que la monnaie existante, la livre tournois.

La fille du roi mariée contre rançon :

Portrait de JeanIIle Bon (musée du Louvre)Jean II le Bon ( » le Bon  » à l’époque =  » le Brave  ») a été fait prisonnier à la bataille de Poitiers . Il a subi une longue captivité en Angleterre et son geôlier, le roi anglais Édouard III, pour le libérer , a réclamé une énorme rançon, environ trois millions de livres tournois, soit 12,5 tonnes d’or. !

Comme le royaume est ruiné , pour obtenir une partie de la rançon, Jean accepte une  »mésalliance  » avec le riche duc de Milan, Galéas Visconti. Il  »vend » sa fille Isabelle contre 600 000 livres à cet homme ,qui n’est qu’un marchand issu de basse classe .

Édouard III accepte de libérer son prisonnier après un premier versement de 400 000 livres. Mais le roi de France doit s’engager à verser le reste et pour cela n’hésite pas à endetter son pays. Ce qui fait que, sur le chemin du retour, à Compiègne, il prend trois ordonnances. Il crée , pour commencer ,de nouvelles taxes et généralise l’impôt sur le sel, la fameuse gabelle qui va devenir incontournable et très impopulaire ).

Le franc, rival du florin :

Pour rendre le règlement de sa rançon plus facile , le roi crée ensuite le  » franc  ». La nouvelle pièce commémore sa libération comme l’indique son nom (franc et affranchissement sont synonymes de libre et libération)

Le roi déclare , rappelle dans son ordonnance:

 » Nous avons été délivré à plein de prison et sommes franc et délivré à toujours  ».  » Nous avons ordonné et ordonnons que le Denier d’Or fin que nous faisons faire à présent et entendons à faire continuer sera appelé Franc d’Or  ».

Le premier franc :

Le franc à cheval
Le franc de 1360 est en or fin de 3,88 grammes. Il vient en complément de l’écu d’or qu’avait introduit Saint Louis au siècle précédent, et de la livre tournois en argent. Il vaut une livre ou vingt.????

Le premier franc représente le roi à cheval avec la légende  » Johannes Dei GratiaFrancorum Rex  ». Une version ultérieure du franc, en 1365, représentera le roi à pied (le  » franc à pied  » lol ).

Jean II le Bon et son fils, le futur Charles V suivirent pour la monnaie les recommandations de leur conseiller Nicolas Oresme. Dans son Traité des Monnaies (1370), ce clerc, philosophe et traducteur d’Aristote, prône une monnaie stable, garante de la puissance du souverain, capable de rivaliser sur les marchés avec le prestigieux florin de Florence, qui domine l’Europe depuis déjà un siècle.

Au Moyen Âge, les pièces de monnaies  tirent leur valeur de leur poids en métal précieux (or ou argent). Les pièces de différents pays peuvent circuler côte à côte sur les marchés, leur attrait dépendant de la confiance que le public accorde à l’émetteur. Si celui-ci est suspect de tricher sur la quantité de métal précieux ou de laisser faire les faux-monnayeurs, sa monnaie tendra à être rejetée par le public et dévalorisée à son détriment.

Une rançon pour rien :

Pendant que les Français s’échinent à payer au roi anglais la rançon pour la libération de son souverain, ce dernier revient en Angleterre comme prisonnier volontaire !! pour laver l’honneur d’un otage français qui s’était enfui sous prétexte d’un pèlerinage,( son propre fils, Louis d’Anjou, pressé de rejoindre sa jeune épouse ).

 » Vous avez blêmi l’honneur de votre lignage  », lance le roi à son trop malin rejeton. Jean II le Bon meurt en prison , le 8 avril 1364… De mauvaises langues susurrent que c’est moins l’honneur que le souvenir d’une belle Anglaise qui l’a ramené dans sa confortable prison.

Vicissitudes du franc :

La France, du Moyen Âge à la fin du XIXe siècle, se montre attachée au  » bimétallisme  » : pièces principales en or et subdivisions en argent.

Le financier John Law (National Portrait Gallery, Londres)Le franc poursuit une carrière  » à éclipses  ». La pièce de Jean II le Bon et de Charles V est frappée jusqu’en 1385. Une pièce du même nom mais en argent reparaît brèvement en 1576 sous le règne du roi Henri III. À partir de Louis XIII, le franc n’est plus qu’une unité de compte. Il disparaît au profit de la livre, elle-même divisée en 20 sous ou 240 deniers. Mais dans le langage courant, on continue de parler de franc plutôt que de livre.

Au XVIIIe siècle, on tente à deux reprises d’introduire des billets en plus des pièces, les billets étant gagés sur des richesses réelles ou à venir.

Ce sont les ressources de la colonie de Louisiane dans le premier cas (expérience de John Law, sous la Régence, en 1716-1720) et les biens enlevés au clergé et aux émigrés dans le second cas (création des assignats  par l’Assemblée Nationale, au début de la Révolution, en décembre 1789). 

Dans les deux cas, les pouvoirs publics ne résistent pas à la tentation d’imprimer plus de billets qu’ils n’ont de richesses en gage.

Un assignat de la RévolutionCes billets sans contrepartie sont très vite rejetés par le public et l’on en revient à chaque fois aux pièces d’or ou d’argent.

Les pièces en franc sont remises à l’honneur par la Convention, sous la Révolution.

Une loi du 7 avril 1795, confirmée le 15 août 1795, fait du franc l’unité monétaire de la France, en remplacement de la livre. La nouvelle unité monétaire, très simple d’emploi avec ses décimes, ses centimes et ses millimes, est immédiatement adoptée.

Napoléon Bonaparte, alors Premier Consul , lui donne une base stable par la loi du 7 Germinal an XI (27 mars 1803) qui définit la nouvelle pièce de 1 Franc par  »5 grammes d’argent au titre de neuf dixièmes de fin  ». Une  pièce en or de 20 francs est également créée sous le nom de Napoléon.

Bonaparte institue une Banque de France  pour soutenir la nouvelle monnaie et développer la monnaie scripturale (= fictif, reposant sur des écritures ).

Le   »franc germinal » va traverser avec succès le XIXe siècle ? ! ses changements de régime et même la défaite de 1870. Respectueux de la monnaie nationale, les insurgés de la Commune épargnent le stock d’or de la Monnaie. Sa stabilité vaut même au franc germinal d’être adopté comme référence commune par de nombreux pays au sein de l’  » Union latine  »

Dévalué après la Guerre de 1914-1918, le franc germinal est remplacé par un franc  » au rabais  », le  »franc Poincaré  », en 1928.

Le franc a duré comme monnaie de référence de la France jusqu’au 31 décembre 2001, dernier jour avant l’euro . Il subsiste dans les anciennes colonies françaises d’Afrique et du Pacifique ainsi qu’en Suisse …..

En attendant….

….la fermeture probable de ce blog :

Quel médicament est à l’origine du Coca Cola ?

Comme chacun sait, le Coca-Cola est l’une des boissons les plus connues au monde. Depuis la création de la marque, à la fin du XIXe siècle, le succès ne s’est jamais démenti. Mais je ne savais pas ( me souvenais pas ? ) qu’un médicament français était à l’origine de cette célèbre boisson…

Le vin Mariani

Les inventeurs du Coca-Cola se seraient inspirés d’un breuvage aux vertus médicales appelé vin de Mariani. Il doit son nom à son créateur, Angelo Mariani.

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Né en Corse en 1838, A Mariani s’initie aux préparations à base de plantes dans la pharmacie de son père. Parti pour Paris, dans les années 1860, il travaille dans plusieurs officines et devient préparateur en pharmacie.

Et c’est dans cet  » environnement  » qu’il découvre le vin qui porte son nom. Pour l’obtenir, il fait macérer des feuilles de coca, importées du Pérou, dans du vin de Bordeaux. La préparation aurait soigné la voix d’une célèbre cantatrice.!?( P.S : N’ai pas trouvé le nom de la cantatrice )

Réputé guérir de la fatigue, de la grippe, ou même de l’impuissance, le vin Mariani devient très populaire. Au point que les restaurants le proposent à leurs clients et que de célèbres personnalités, comme le pape Léon XIII

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< ========Léon 13

, en vantent les bienfaits.

Vers le Coca-Cola :

Le vin Mariani s’exporte dans le monde entier, notamment aux États-Unis où un pharmacien américain, John Pemberton

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, est ainsi amené à en connaître la recette.

En tous cas , il s’en inspire pour composer sa propre boisson, nommée, en référence au vin de Mariani, le  »french wine coca  » Cette boisson alcoolisée est faite d’un mélange de feuilles de coca, de noix de kola, à la forte teneur en caféine, et de feuilles de damiana,

bienfaits de la damiana

arbuste présent aux États-Unis et en Amérique latine.

Mais la véritable chance de John Pemberton vient de la décision du maire d’Atlanta, en Géorgie, de bannir l’alcool de sa ville.( Il ne fait qu’entériner les résultats d’un référendum qui vient d’avoir lieu ).

Le pharmacien invente alors une recette sans alcool du  »french wine coca  », dont la saveur et l’apparence sont un peu moins fades que les orangeades servies dans les bars de la ville. Elle comprend toujours du coca, additionné d’eau gazeuse et de sirop de cola. Nous sommes en 1886 et le coca-cola est né.

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A savoir :

 Avant de servir dans le troisième bataillon de cavalerie de l’État de Géorgie, Pemberton obtient un diplôme en botanique et pratique une médecine dite  » thomsonienne  » , créée par l’herboriste et phytothérapeute Samuel Thomson, censée débarrasser le corps humain de ses toxines. A l’époque, ces pratiques sont considérées avec énormément de suspicion et de méfiance, ce qui n’empêche pas Pemberton de populariser cette discipline à travers l’est des États-Unis. L’homme obtient ensuite un   »graduate degree   »en pharmacie, peu de temps avant le début de la guerre de Sécession, en 1861….

   Pendant ce conflit , Pemberton va contracter une forte dépendance à la morphine, la véritable tragédie de sa vie. Durant la bataille de Colombus en avril 1865, il est gravement blessé à la poitrine par un coup de sabre qui manque de le tuer. L’homme survit finalement, mais les stigmates de ces blessures le marqueront à vie. Pour limiter les douleurs qu’elles provoquent, les médecins lui proposent de la morphine, un puissant opiacé déjà utilisé à l’époque comme analgésique. Pemberton prend rapidement conscience qu’il va lui falloir combattre cette addiction, et c’est ainsi qu’il se met en quête d’un remède qui lui permettra de s’en libérer.

    S’appuyant sur les connaissances qu’il a acquises durant ses années d’étude et de pratique, John Pemberton commence à travailler sur un breuvage qui lui permettra de se libérer progressivement de sa dépendance à la morphine. Il expérimente différentes formules à base d’herbes et de plantes, parmi lesquelles on retrouve les  incontournables feuilles de coca, la matière première utilisée pour produire de la cocaïne