En duo avec mon ami Gaël

Divine bibine

Ce soir,après quelques chopes,plus de soucis…
Le sommeil « semi-éthylique « ,pas le coma!
Mon esprit et mon corps tu décontractera.
Ho oui,je t’ai été infidèle quelque fois!
Mais,je suis sur,persuadé :Tu me pardonneras…

J’ai testé des alcool plus forts,mais ,ce ne fut pas « çà »!
Car le plaisir de savourer lentement les gorgées
Cette douce et lente montée de l’ivresse ne fut pas là.
Quoiqu’il en soit,avec ou sans toi ,ma vie finira ….
« Ils » me mettrons en bière . »En bière » ,quelle idée!?

Cette expression n’est vraiment pas de bon aloi !
La question reste posée :Seras-tu là dans l’au delà ?
Seul celui qui te boira le saura n’est ce pas?
Divine bibine « consommer avec modération » disent ils…

Pourquoi? Rêves et évasion doivent ils être modérés?
Non! Ils restent grâce à toi accessibles et c’est bon
Ainsi,je te consomme avec plaisir et sans modération..
Pourquoi? Par ce que tu m’emmènes dans des lieux enchantés..

Ce soir,tu vas encore m’aider à me blottir dans les bras de Morphée………….
Nos ancêtres ,les Gaulois te consommaient déjà sous le nom de cervoise
Et nous sommes leurs descendants ,alors nous devons continuer..
A te consommer sans modération ,même s’ils » se liguent et dégoisent.

Ils ne sont que puritains ,qui au plaisir ne connaissent rien!
Brune ou blonde,avec ou sans mousse ,te buvant on est si bien….
Dans une chope,une canette , sont des plaisirs lègers mais certains.
Divine bibine, je m’éloigne parfois,mais toujours à toi je reviens….

Divine Bibine.

 

Ce soir, j’aimerais plonger

Bien plus que mon regard

Dans ta sirupeuse sucrée

Prendre l’envol dans les vapeurs

Vers où me conduiront les voiles

Des senteurs houblonnées.

 

Ce soir, rien que de te voir sur pied

Dans ce verre si net, irréprochable

Je me sens comme légèrement troublé

Alors que dans ma gorge

Tu n’as point encore descendu la chute

Vertigineuse qui me fera tout oublier.

 

Oh ma divine bibine

Je me lèche d’avance mes grandes babines

Je me vois avec toi partir dans le céleste

Le paradis de mon ivrognerie

Qui fera tanguer, à mon couché, mon vieux lit.

 

Ce soir, après quelques chopes, plus de soucis

Le sommeil « semi-éthylique « , pas le coma !

Mon esprit et mon corps tu décontracteras.

Ho oui, je t’ai été infidèle quelque fois !

Mais, je suis sûr, persuadé : Tu me pardonneras.

 

J’ai testé des alcools plus forts, mais, ce ne fut pas « çà » !

Car le plaisir de savourer lentement les gorgées

Cette douce et lente montée de l’ivresse ne fut pas là.

Quoiqu’il en soit, avec ou sans toi, ma vie finira

« Ils » me mettront en bière. « En bière », quelle idée ?

 

Cette expression n’est vraiment pas de bon aloi !

La question reste posée : Seras-tu là dans l’au-delà ?

Seul celui qui te boira le saura, n’est ce pas ?

Divine bibine « consommer avec modération » disent-ils…

 

Pourquoi ? Rêves et évasion doivent ils être modérés ?

Non ! Ils restent grâce à toi accessibles et c’est bon

Ainsi, je te consomme avec plaisir et sans modération…

Pourquoi ? Par ce que tu m’emmènes dans des lieux enchantés.

 

Ce soir, tu vas encore m’aider à me blottir dans les bras de Morphée

Nos ancêtres, les Gaulois te consommaient déjà sous le nom de cervoise

Et nous sommes leurs descendants, alors nous devons continuer

À te consommer sans modération, même s’ils se liguent et dégoisent.

 

Ils ne sont que puritains, qui au plaisir ne connaissent rien !

Brune ou blonde, avec ou sans mousse, te buvant on est si bien

Dans une chope, une canette, sont des plaisirs légers mais certains

Divine bibine, je m’éloigne parfois, mais toujours à toi je reviens.

 

Ce soir, je plonge le nez dans ta mousse onctueuse

Je sens tes arômes qui me montent au nez

À la manière de la moutarde qui fait frétiller mes narines à en éternuer

Je plonge mes yeux dans ta robe à la couleur ocre

Et je te dégusterais de la même façon qu’aurait pu faire le vieil ogre.

 

Ce soir, j’oublie tout jusqu’à mon passé lorsque j’étais abstinent

Où je pensais qu’un seul verre ferait de moi juste un être drôle

J’humecte mes lèvres, suintant avec plaisir jusqu’à mon cou

Apportant ma fièvre loin des samedis soirs

Sans pour autant en douter que je pourrais te retrouver

Quand je le voudrais dans les troquets de basse-foire.

 

Oh ma divine bibine,

De toi, je ne cesse de songer, je me noie dans tes délices

Est-ce une réelle surprise de te voir si goulument heureuse ?

Quand vient ma bouche te prendre si tremblante

Afin de te faire descendre et aller dans les rapides insoupçonnés

Que ma gorge te sert tel un toboggan de la vallée glissante.

 

Ce soir, ma divine bibine, tu es mienne et je suis à toi

Tu t’offres à mon plaisir et au fond, je me noie

Dans des affres sensuelles qui me fait ressentir dans mon fond

Que je suis en fait bien rond comme un cul de pelle…

Oh ma divine bibine…,Oh ma bibine si divine.

 

Francis Marin et Paul Andrews

Écrit le 18/12/2012.